mercredi 29 mai 2013

révolution (anecdotique)


Sylvie APRILE, Jean-Claude CARON et Emmanuel FUREIX (sous la dir.)

La liberté guidant les peuples: les révolutions de 1830 en Europe



Éthologie.

En 1830, les humains ont dépassé le milliard d'individus sur l'ensemble de la planète. La révolution industrielle qui a débuté 3000 ans auparavant en est la cause déterminante pour eux. 

L’Europe compte entre 200 et 220 millions d'humains et un grand nombre de groupes que l'on appelle des états. 

Chaque état est constitué d'un grand nombre de sous-groupes cadres de la Quête de Ressources de Vie pour les humains qui les constituent. Lorsque qu'une ressource devient critique, il y a conflit. 

Les conflits se terminent toujours parce que c'est le travail qui apporte les ressources et le conflit ne peut tout au plus que les redistribuer. 

Le travail est le moyen pour les animaux sociaux que sont les humains d'acquérir leurs Ressources de Vie. Il y a la phase où chaque humain contribue à les acquérir puis la phase où chacun est rétribué. 

Chez les animaux non sociaux, il y a conflit vital quand une seule ressource est disponible et qu'elle entraîne la disparition des deux protagonistes si elle est partagée.

Chez les animaux sociaux, les mêmes causes produisent les mêmes effets à ces nuances près:

- Les situations aussi nettes que la pénurie de ressources citée plus haut est moins détectable parce que la vie en groupe en brouille les contours.
- la synergie main/cerveau/sociabilité développe de nouvelles ressources de vie. L'autre vivant est autant mon ennemi que mon ami.
- Le conflit peut se déclencher dans le cadre de la contribution ( par exemple: les heures de travail à réaliser) que dans le cadre de la distribution ( par exemple: détermination des salaires) ou dans les deux à la fois. 
- Ces conflits se déclenchent également de manière variable dans tous les groupes ( guerres, conquêtes ou colonisation) et tous les sous groupes ( dirigeants/organisateurs/opérateurs, territoires, religion, langue, etc...)

Tous les vivants sont en (r)évolution permanente. Le non-vivant, également.