Présentation
Riccardo Orizio recherche au Sri Lanka, à la Jamaïque, au Brésil, en Haïti, en Namibie ou en Guadeloupe les traces des Blancs Européens qui s'y sont assimilés. Nostalgie et mers asséchées.
Commentaires:
A la page 102 à propos des ancêtres de la Jamaïque, les Arawaks:
Riccardo Orizio écrit:
C. Colomb est arrivé sur l'île le 5 mai 1494.
Y vivait 100 000 Arawaks "des indiens paresseux aux traits mongoloïdes et à la peau de bronze" dirigés par des caciques. C'était un paradis où ne régnait ni la faim, ni la maladie ni le travail.
Christophe Colomb écrit:
"C'était l'île la plus belle que j'ai jamais vue, couverte de vallées, de champs et de plateaux".
Riccardo Orrizio continue
Les Arawaks n'étaient pas des artistes ni des soldats bien que les caciques les aient provoqué à des guerres incessantes entre les différents villages. Ils ne se passionnaient ni pour la chasse ni pour la pêche bien qu'ils aient su se débrouiller. Peu religieux également. Ils vivaient. Ils aimaient la mer et faisaient des bateaux à partir de tronc de cèdres qu'ils creusaient. 50 rameurs y trouvaient place. Ils aimaient les pierres mais Berlusconi, pardon, Colombani leur ordonna de trouver ce qui ne s'y trouvait pas: de l'or. (traduction personnelle)
Wikipedia ajoute son grain de sel qui contre-balance définitivement les balivernes précédentes.
Éthologie.
Et c'est ainsi que les Grands Découvreurs européens avec leurs arquebuses, leurs épées, leurs bombardes et leurs chevaux mirent ces "innocents" dans les poubelles de l'histoire afin de venir y pondre leurs petits.
S'ils étaient venus à la nage et en maillots de bain, nous serions aujourd'hui tous des Arawaks. Certainement pas 7 milliards, plutôt 7 millions, mais avec quelle nature préservée!
